In Nowhereland.

Love is louder than self-harm.

lunes, 28 de junio de 2010

Carefully.


"-¡En eso consiste la relación entre hombre y mujer!
-Tetsu... ya basta...
-¡En compartir lo más vulnerable de nuestros cuerpos y corazones! ¡En dejarlo al descubierto! ¡¿cómo no iba a hacernos daño?!"

¿Que hacer con todos estos sentimientos encontrados? I trust in you, pero es obvio que tengo miedo, y aun mas de usar las palabras incorrectas. Ya me equivoqué una vez, causé daño... No quiero volver a hacerlo. If I say "I love you", no me puedo equivocar.

Maléfice

martes, 22 de junio de 2010

worst than a nightmare


Extraño a mis amigos. Todos pensaron que eran solo una diversión para mi, pero no. Son mis amigos. Los quiero demasiado, los extraño, me hacen falta. Hace más de un mes que no lo veo, lo echo de menos, me conoce muy bien, sabe cuando algo me pasa, sabe como hacerme reír, SIEMPRE estuvo ahi para mi. Me dijo que esta muy ocupado, que no nos podemos juntar, y me puse a llorar. Es muy importante para mi, me hace falta, y no tiene tiempo. Me siento abandonada. Estúpidos hombres... Te extraño.

Me siento mal. Bien resumido: MAL.
Desde que terminé, no comía casi nada. Una clase de anorexia-obsesiva intentada por mi. Bajé mucho de peso, y me sentía bien con ello. Ahora... volví a comer, pero me siento asquerosa. Como compulsivamente, no puedo dejar de comer. Siento que subo gramo tras gramo, no quiero pesarme. Se que si me peso me pondré a llorar. ESTÚPIDA. Quiero seguir bajando de peso, bajar, bajar. Pesarme y sentirme feliz por que la flecha indique cada vez menos, que me entren más pantalones viejos que deseché por pequeños. Quiero más. Dejaré de almorzar. Así lo haré. Comenzaré mañana. Un buen desayuno, no almorzaré, y cenaré apio, ya que me retan si no como algo... Si en una semana no peso 63kg, me sentiré horrible, asquerosa.

Y tengo novio nuevo. No sé que decir. Lo quiero, lo quiero mucho. Pero no se que decir. Es TAN extraño para mi que alguien diferente este junto a mi... No me acostumbro. Me costará mucho tiempo hacerlo.


QUIERO VOMITAR MIS ENTRAÑAS. POR LA MIERDA.


domingo, 20 de junio de 2010

No me ames...

Dime porque lloras; De felicidad; ¿Y porque te ahogas?; Por la soledad...; Di porque me tomas fuerte así, mis manos, y tus pensamientos te van llevando...Yo te querio tanto; ¿Y porque sera?; Loco testarudo, no lo dudes mas, aunque en el futuro haya un muro enorme. Yo no tengo miedo, quiero enamorarme; No me ames, porque pienses que parezco diferente; Tu no piensas que es lo justo, ver pasar el tiempo juntos; No me ames, que comprendo la mentira que seria; Si tu amor no merezco, no me ames, mas quédate otra día; No me ames, porque estoy perdido, porque cambie el mundo, porque es el destino, porque no se puede, somos un espejo y tu asi serias lo que yo de mi reflejo;
No me ames, para estar muriendo dentro de una guerra llena de arrepentimientos. No me ames, para estar en tierra, quiero alzar el vuelvo con tu gran amor por el azul del cielo; No se que decirte, esa la verdad. Si la gente quiere, sabe lastimar; Tu y yo partiremos, ellos no se mueven, pero en este cielo sola no me dejes ; No me dejes, no me dejes... No me escuches, si te digo "no me ames" ; No me dejes, no desarmes mi corazón con ese "no me ames"; No me ames, ¡te lo ruego! Mi amargura déjame... ; Sabes bien, que no puedo, que es inútil... que siempre te amare; No me ames, pues te hare sufrir, con este corazón que se lleno de mil inviernos; No me ames para asi olvidarte de tus días grises. Quiero que me ames solo por amarme; No me ames, tu y yo volaremos uno con el otro y seguiremos siempre juntos; Este amor es como el sol que sale tras de la tormenta, como dos cometas en la misma estela.

No me ames

miércoles, 16 de junio de 2010

Past.





¡Mira dónde me tenías! ¡Y MIRA QUE SOY AHORA SIN TI!

SOY FELIZ.

lunes, 14 de junio de 2010

Argh.



No quiero saber de tí y tu odio contra mi. NO QUIERO SABER.
Si piensas que soy una zorra, ALLÁ TU, NO VALES NI LA PENA.


Maléfice

domingo, 13 de junio de 2010

Aprendiendo.

C'est alors qu'apparut le renard:

- Bonjour, dit le renard.

- Bonjour, répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien.

- Je suis là, dit la voix, sous le pommier.

- Qui es-tu ? dit le petit prince. Tu es bien joli...

- Je suis un renard, dit le renard.

- Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste...

- Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé.

- Ah! pardon, fit le petit prince.

Mais, après réflexion, il ajouta:

- Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?

- Tu n'es pas d'ici, dit le renard, que cherches-tu ?

- Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?

- Les hommes, dit le renard, ils ont des fusils et ils chassent. C'est bien gênant ! Ils élèvent aussi des poules. C'est leur seul intérêt. Tu cherches des poules ?

- Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?

- C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie "créer des liens..."

- Créer des liens ?

- Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...

- Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur... je crois qu'elle m'a apprivoisé...

- C'est possible, dit le renard. On voit sur la Terre toutes sortes de choses...

- Oh! ce n'est pas sur la Terre, dit le petit prince.

Le renard parut très intrigué :

- Sur une autre planète ?

- Oui.

- Il y a des chasseurs, sur cette planète-là ?

- Non.

- Ça, c'est intéressant ! Et des poules ?

- Non.

- Rien n'est parfait, soupira le renard.

Mais le renard revint à son idée:

- Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m'ennuie donc un peu. Mais, si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Et puis regarde ! Tu vois, là-bas, les champs de blé ? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste ! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisé ! Le blé, qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé...

Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince:

- S'il te plaît... apprivoise-moi ! dit-il.

- Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.

- On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi !

- Que faut-il faire? dit le petit prince.

- Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...

Le lendemain revint le petit prince.

- Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après-midi, dès trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai; je découvrirai le prix du bonheur ! Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le cœur... Il faut des rites.

- Qu'est-ce qu'un rite ? dit le petit prince.

- C'est aussi quelque chose de trop oublié, dit le renard. C'est ce qui fait qu'un jour est différent des autres jours, une heure, des autres heures. Il y a un rite, par exemple, chez mes chasseurs. Ils dansent le jeudi avec les filles du village. Alors le jeudi est jour merveilleux ! Je vais me promener jusqu'à la vigne. Si les chasseurs dansaient n'importe quand, les jours se ressembleraient tous, et je n'aurais point de vacances.

Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure du départ fut proche:

- Ah! dit le renard... Je pleurerai.

- C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise...

- Bien sûr, dit le renard.

- Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince.

- Bien sûr, dit le renard.

- Alors tu n'y gagnes rien !

- J'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé.

Puis il ajouta:

- Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret.

Le petit prince s'en fut revoir les roses:

- Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisé et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n'était qu'un renard semblable à cent mille autres. Mais j'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde.

Et les roses étaient bien gênées.

- Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle que j'ai mise sous globe. Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c'est ma rose.

Et il revint vers le renard:

- Adieu, dit-il...

- Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux.

- L'essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenir.

- C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.

- C'est le temps que j'ai perdu pour ma rose... fit le petit prince, afin de se souvenir.

- Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose...

- Je suis responsable de ma rose... répéta le petit prince, afin de se souvenir.


Saint-Exupéry

Le Petit Prince.

domingo, 6 de junio de 2010

Slow.




A new brand world is begining, but I'll should take it easy...
Con alegría, con miedo, con inseguridad, pero alegría al fin y al cabo...


jueves, 3 de junio de 2010

miércoles, 2 de junio de 2010

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Fui al colegio sin muñequera. Tuve deporte. En el camarín me miraron el brazo, dijeron algo justo detrás de mi que no entendí. Vuelvo a lo de antes....

Pura mierda.




Quiero alejarme pronto de esto...
Simplemente no quiero más problemas...